• J’ai déjà à plusieurs reprises insisté sur le l’importance que j’accorde à la lecture, en insistant bien sur les bienfaits au niveau neuronal, mais également en terme de mémoire et de capacité cognitive. Parce que oui c’est bien beau de se dire qu’une lecture met de l’ordre dans des neurones compressés les uns contre les autres à cause des contrariétés du quotidien. N’oubliant jamais de rappeler le pouvoir de la lecture sur l’imaginaire, j’ai été ce samedi, la témoin de la diffusion d’une véritable poésie visuelle et auditive : Le conte de la Princesse Kaguya, réalisé par IsaoTakahata.

    Je placerai ce film d’animation dans la même catégorie que Le Petit Prince, d’Antoine de St Exupéry. Il s’agit en effet de l’histoire d’une jeune fille, prénommée pousse de bambou, qui a été trouvée bébé dans la branche creuse d’un bambou, qu’un paysan s’occupait de tailler pour le revendre au village. La surprise et l’enchantement furent tels, que le paysan et sa femme, incapables de donner la vie, décident d’adopter l’enfant, dont la beauté éblouirait même l’astre du jour.
    On accompagne ainsi cette enfant pleine de vie et de douceur dans sa vie, que son père adoptif s’efforce de rendre la plus belle possible. La faisant peu à peu princesse, d’abord en achetant logement et tissus et employés pour la seule réussite de son enfant tombé du ciel, puis en permettant à la jeune fille de découvrir ses talents qui ne manquent pas et dont elle se montre chaque fois plus digne du titre que le père veut lui offrir. Ne manque que l’amour à cette créature aux origines astrales, et qui ne semble en rien l’intéresser, à moins que…

     

    Avec un scénario très rafraichissant, l’ode à la candeur et à la fraicheur enfantine rendent ce film aussi léger et agréable qu’une brise d’été. Les couleurs, savamment composées et associées, permettent une justesse dans l’expression des sentiments de l’héroïne, qu’un travail au trait exceptionnel magnifie avec succès.
    Un merveilleux moment en somme, entre poésie et douceurs, que je vous laisse découvrir :


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  • Quand certains apprécient chez un acteur le type de film qui lui est propre, d’autres, comme moi, auront tendance à chercher les petits écarts de genre dans les carrières de ces égéries du 7e art. En effet, avec un Will Smith renversant dans 7 vies, ou un Jim Carrey bouleversant dans I love youPhillipe Morris, au cours duquel il partage l’affiche avec un Ewan McGregor sensible et émouvant, on voit la réelle capacité de ces acteurs, parfois réduite à des rôles qui les desservent plus qu’autre chose.

    Ainsi, dans cette veine de jeu d’acteur qui se démarque d’une ligne professionnelle établie, on pourra citer le film Le Juge, avec en vedette un Robert Duvall magistral et un Robert Downey Jr. qui encore une fois endosse un rôle avec brio, et donne au film tout son contraste.

    En effet, habituée à voir l’artiste dans des rôles de personnages instables, hyperactifs, en marge de la société, on trouve ici un Robert Downey Jr tiraillé entre une situation maritale qui se détériore vitesse grand V et des rapports avec sa famille plus que mitigés, seule sa fille semble être capable de percer la carapace d’un personnage bourru et légèrement xénophobe. Devenu avocat après une enfance difficile marquée par un père parfois injuste, ce qui est un comble, pour un juge…
    L’homme, vieillissant, et mêlé à une affaire de meurtre, duquel il est inculpé ayant condamné la victime plus de 20 ans plus tôt pour l’assassinat d’une jeune fille. Alors que tout joue contre lui, le fils du juge prendra l’affaire pour innocenter son père et laver son honneur. Les relations qu’ils entretiennent entrant en conflit avec l’objectif qui les lie.

     

    Une magnifique enquête pour démêler le vrai du faux, faire la part de choses entre réalité et fierté, honneur et disgrâces, amour et ignorance. Un merveilleux moment de cinéma, que la presse du genre n’avait pas manqué de féliciter lors de la sortie, en 2014.


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  • Nombreux sont les chemins qui nous amènent à adopter une petite boule de poils. Chiens, chats, hermines, rats, ou autres, de nombreuses possibilités existent qu’il est important de bien jauger. En effet, chaque animal a ses besoins, qu’il est nécessaire  de connaitre avant de se procurer le dit animal. Aussi, être le propriétaire d’un être vivant implique des responsabilités qu’il ne faut jamais sous-évaluer, une surestimation ne pouvant qu’être préférable.  Que ce soit le temps nécessaire pour que l’animal soit heureux, ou encore les frais pour lui assurer une bonne santé, voire même ses besoins essentiels, que seront la nourriture, les divers jouets ou installations comme la cage pour les plus petits ou caisse et niche pour les autres.

    Sachez qu’un animal est un investissement. En effet, une batterie de frais sera à prévoir, qu’il vaut mieux envisager en amont de l’acquisition de votre futur compagnon de vie. Entre les frais de soin, la nourriture, et les accessoires, en moyenne un animal de compagnie coûte entre 400 et 800 € par an. Cependant vous pourrez si vous vous y prenez bien réduire ce coût à un niveau quasi dérisoire. Pour exemple, la première année mes frais pour un chat se sont élevés à environ 200 € pour la nourriture, 75 € de litière, et 450 € de frais médicaux (vaccins, stérilisation, puce de traçage, et deux trois autres petites choses). Ainsi, on en vient à 725€ sans compter les petites babioles pour qu’elle s’occupe, dont un arbre à chat, quelques petits accessoires pour jouer, une brosse, etc… Dès la fin de la première année, il a fallu trouver des alternatives. Bien qu’il n’y ait plus de frais médicaux à prévoir, après calcul le montant atteignait environ 350 €. Sachez qu’il existe un grand nombre de réflexes à prendre pour réduire encore ce montant, dont des conseils de régimes alimentaires, des exemples d’installations de jeux pour animaux à construire soit même etc…

    Aussi, avant de décider d’adopter un animal dans une animalerie, renseignez-vous et envisagez toutes les possibilités pour que l’animal vous corresponde. On dit souvent que l’animal ressemble au maître, mais rien ne vous empêche de choisir un compagnon en fonction de ses traits caractéristiques. L’indépendance du chat pour un emploi du temps déjà chargé, la fidélité d’un chien pour de belles balades, les penchants joueurs d’un furet pour animer un appartement un peu trop calme mais trop petit pour un autre type d’animal, etc. Afin de choisir au mieux votre futur animal de compagnie, n’hésitez pas à vous rendre à la SPA ou dans les refuges pour animaux blessés et abandonnés. Vous éviterez ainsi les frais médicaux de départ que sont les vaccins ce qui n’est pas négligeable. Aussi, vous vous assurez du comportement de l’animal auprès du responsable du service que vous envisagerez. Vous pourrez ainsi apprendre à connaitre l’animal avant de le ramener à la maison, l’accommoder avec votre odeur, pour lui permettre une transition moins difficile vers son futur lieu de vie.

     

    En somme un grand nombre de facteurs sont à prendre en considération. En effet, vous aurez entre les mains la responsabilité d’une vie, rien de moins.


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  • Alors que je rentre de vacances avec un magnifique hale solaire qui donne cet air de bonne santé et de bonne humeur que tout le monde envie, bronzée  comme je l’ai rarement été sur les dernières années, j’ai cette année essayé de favoriser un bronzage naturel en suivant les conseils d’une amie originaire du Maghreb.
    Ainsi, au lieu d’étaler de belles couches de crème solaire à différents indices de protection en fonction des heures d’exposition, j’ai ainsi concocter avant le voyage un savant mélange d’huile d’argan, huile d’olive et quelques gouttes d’huiles essentielles pour l’odeur.
    Rassurez-vous, ce cocktail ne demande pas de produits particuliers, et sera la meilleure éventualité pour bronzer de la manière la plus naturelle et efficace qui soit. L’huile d’argan, très nutritive et aux nombreuses vertus assure une parfaite coloration des cellules de la peau, tout en la protégeant et la respectant. Très hydratante, cette mixture 100% bio (et comestible) est à appliquer toutes les heures, sans abus. Très facile à appliquer, elle permettra de faire chauffer votre peau et assurera ainsi une teinte d’or aux reflets de cuivre tout en nourrissant cheveux et reconstitution cellulaire.
    Si à ça vous complétez votre journée de jus de carotte et de tomate, de poisson cuit en papillote et de nombre de salade composées, vous aurez tout ce qu’il faut pour être en pleine forme et avoir le plus beau bronzage qui soit. Vous pourrez ainsi sans effort vous refaire une santé, et en prime une beauté !

     

    Pour résumer, avec ce cocktail vous pourrez obtenir un bronzage plus beau que jamais, des cheveux brillants et nourris, un teint magnifique et une mine que tous envieront.
    Petit conseil beauté, vous pouvez verser 2 ou 3 cuillères à soupe dans un bol et mélanger avec une cuillère à café de sel de table ou de sucre cristal. Bien mélanger et appliquer directement sur la peau en faisant des gestes circulaires, relativement lents et réguliers. Ce gommage est très efficace pour raffermir la peau, éliminer les peaux mortes, atténuer la cellulite et masquer les vergetures. C’est peut être à ce que cherchais Nicolas Flamel lorsqu’il tentât de créer la pierre philosophale…


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  • Je pense que comme toutes les personnes qui tiennent un blog, je fais partie de ces amoureux de l’expression écrite. Mais voilà, comme certains ont dû le vivre, le syndrome de la page blanche est un mal qui touche tous les rédacteurs en herbe que nous sommes.
    En effet, même avec toute l’envie de la planète, il arrive que rien ne vienne. Et dans ces cas-là, chacun a sa solution, sa méthode, sa corde de sortie. Pour les plus chanceux, la célèbre « muse » peut revêtir les traits d’un membre de la famille, de son compagnon de vie jusqu’à la chair de sa chair, en passant par un animal de compagnie.
    D’autres encore trouvent l’inspiration dans une pratique totalement différente : quelques kilomètres de course à pied, une lecture de quelques minutes (ou heures, parfois le mur du silence cognitif est très épais…), ou même une discussion sur un sujet lambda. Le cerveau est bien fait : il suffit de penser à autre chose pour que le subconscient s’occupe de tout et crée les ponts nécessaires pour permettre à l’idée de trouver le chemin jusqu’au clavier.
    Pour ma part, j’ai tendance à vadrouiller sur le net, à la recherche d’un « tilt ». C’est en général le processus que j’emploie. Je me rends sur des sites d’informations comme les journaux nationaux ou les sites d’actualités. Je trouve toujours dans ces sujets de quoi réagir, mais en m’efforçant de m’éloigner le plus possible des sources lues. Un exemple : aujourd’hui je ne savais qu’écrire. J’ai donc passé une heure à lire tout ce qui pouvait passer sous le curseur de ma souris. Arrivant sur le site d’une école de journalisme, l’ISCPA, j’ai pu lire quelques-uns des articles développés par les étudiants, ce que j’ai trouvé très rafraichissant malgré le cadre estudiantin. Je vous invite à vous faire un avis : www.iscpa-ecoles.com. C’est en me posant la question de leur inspiration malgré leur âge que j’ai décidé de rédiger ce post… Ne vous disais-je pas que les voies de l’inspiration étaient impénétrables ?

    Comme le disaient les grecs de l’antiquité, les muses ont cela de magnifique qu’elles ne décident de se manifester que lorsque l’on ne les cherche plus.
    Ainsi, si je devais me risquer à un peu de poésie, je dirais qu’il a fallu ainsi explorer toutes les routes, déblayés tous les chemins, pour qu’une fois las et épuisés nous sombrions dans un sommeil profond que les muses apprécient tant pour souffler l’inspiration créatrice…


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