Quelle belle journée qu’est la première que compte avril. Placée sous le joug de l’humour des fourberies et calembours, des facéties et autres stratagèmes machiavéliques et enfantins, tout le monde profite de ce jour si spécial, où être sérieux n’a pas sa place. Me voilà donc dans une position peu enviable, celle de vouloir parler un peu de ce jour sans qu’on attribue cela à quelques blagues que ce soit. Je vais m’y risquer cela dit, pour célébrer l’humour et la bonne humeur.

Alors que depuis un bon nombre d’années, le 1^e avril permet au plus rigide des hommes de s’accorder un temps de repos. Ainsi, comme certains s’en souviendront surement, en 1972 le ministre de la santé de l’époque, Jean Foyer, annonçait sur Antenne 2 la décision du gouvernement d’interdire la cigarette dans tous les lieux publics… Une blague à l’époque, mais qui fera rire jaune même le plus soigneux des fumeurs.
Aujourd’hui l’humour n’a pas toujours sa place, parce que malheureusement ce qui pose le plus de problèmes  avec l’humour, ce n’est pas le sujet de la blague, mais le public qui l’entend. Ainsi, même les plus grandes compagnies mondiales reconnaissent l’importance de savoir parfois relâcher la pression. En effet, Google, géant du monde virtuel, a commencé à montrer l’exemple dès 2008, en annonçant son désir de s’implanter sur Mars.
Deux ans plus tard, ce même géant aux airs de chef d’entreprise se targue de proposer un traducteur pour animaux. Bien sur le canular a fait sourire, mais il était un peu trop fantaisiste pour être réellement pris au sérieux, si l’on peut dire. Ainsi Google a compris que l’internaute n’est plus un public si facile à dérider qu’avant. Ainsi, après deux années de travail acharné pour stimuler l’impatient rieur qui se cache en chacun de nous, le monumental monstre coloré propose un Google-Maps bien particulier : Google-Maps 8bits. L’action commence dès le 31 mars 2012, à 8 :11 du matin, heure américaine, avec un communiqué de presse qui annonce la sortie prochaine d’un Google-Maps pour NES (Nintendo Entertainment System). Vidéo à l’appui, nombreux sont ceux qui ont pu redécouvrir le monde tout en pixels. De la Tour Eiffel au Golden Bridge, en passant par Big Ben ou l’opéra de Sydney, rien n’a été oublié.
L’opération à tant séduit, que l’année suivante, un tournoi Pokémon a été lancé par le groupe : le Google-Maps Pokémon Challenge. Il était possible au fil des déambulations pédestres de chasser des Pokémons à grand secours de réalité augmentée.
Et pour cette année ? Que nous réserve Google ? Je vous laisse découvrir ça par vous-même, loin de moi l’idée de vous couper l’herbe sous le pied ! 

Le petit Prince, cet innocent blondinet qui a été re-mis au monde en 1943, a connu depuis plus de soixante-dix ans, et connait encore aujourd’hui un grand succès auprès de la jeunesse, que ce soit dans le cursus scolaire, ou au plaisir d’une lecture nocturne. Et aujourd’hui, son père, le célèbre aviateur et auteur Antoine de Saint Exupéry, conteur d’histoires, dessinateur sensible, expéditeur sans relâches, cet aventurier d’un autre temps, aurait-il conté la même histoire ?

Véritable passionné d’Afrique, et des peuples aux mœurs anciennes, reculées et si étranges pour nous européens, Antoine de Saint Exupéry a connu un sort funeste, qui pareil au Commandant d’un navire, a vu sa vie prendre fin à bord de son vaisseau. Destin funeste souvent associé aux plus grands artistes de la planète, l’auteur s’est avéré être un fin philosophe, qui en s’adressant aux enfants par un texte simple, une histoire légère, et une intrigue rebondissante, a su changer les pensées, et les mentalités, pour ouvrir vers la connaissance, l’envie du voyage, la beauté du partage, et surtout la préservation de l’innocence enfantine.

N’aurions-nous pas tout intérêt à chercher dans nos étagères une édition du Petit Prince, relayée au second plan par des magazines de l’Equipe, ou des revues Géo ? En effet, s’il est écrit dans les années 1930/1940, cet ouvrage recèle de nombreuses images et allégories, que les lecteurs avides que sont nos têtes blondes sauront apprécier à leur juste valeur, jusqu’à en redemander. Vous souriez ? Vous ne pensez pas vos enfants si passionnés de lecture que ça ? Détrompez-vous, comme dit l’adage, c’est en forgeant que l’on devient forgeron, et si ce n’est pas en sciant que Léonard de Vinci, c’est certainement en lisant que les enfants s’instruisent.

N’oubliez pas que l’appétit vient en mangeant, et si vos enfants n’ont pas pris gout à la lecture, c’est probablement parce que l’assaisonnement n’était pas le bon…

Lassée d’entendre mes amies me vanter les mérites du Click & Collect j’ai décidé de faire quelques recherches pour savoir de quels services profiter, et le fonctionnement de ce système à proprement parlé. Au départ, peu convaincue, j’en suis venue à me dire que ce système dénaturait totalement le rapport vendeur/client. Non pas que je sois une fervente défenseure du baratin commercial, mais il faut reconnaitre que s’adresser à une personne physique pour faire ses achats est quelque chose de logique, et dans la suite des choses (de tout temps il a fallu un client pour que le vendeur puisse exercer…)

Seulement voilà, aujourd'hui, la majorité des magasins propose un système de commande en ligne, avec possibilité de venir en magasin récupérer des courses, payées au préalable, et déjà empaquetées. Un gain de temps incroyable ne serait que pour la partie des paquets.

Mais revenons à nos moutons, voulez-vous ? J’ai donc fait mes recherches, et afin de donner un avis le plus juste possible sur cette pratique, j’ai essayé de trouver un concepteur de sites et applis C&C. Ainsi, plusieurs applications proposées par WLC, qui est une société située à Jacou, dans la périphérie montpelliéraine. Ainsi, j’ai pu apprécier le service de commande online d’un restaurant, dont le principe revient à celui d’une commande passée par téléphone.
Plusieurs avantages, comme l’accès à la carte, avec visuels des plats, et heure de réception du produit. On peut ainsi passer une commande entre deux déplacements, ça ne prend que quelques minutes, et c’est très simple d’utilisation. Beaucoup plus simple et accessible que ce à quoi je m’attendais.
Enfin, afin de terminer mon test, j’ai également passé une commande sur le « Drive » d’une grande surface. Bien qu’aussi pratique que l’appli pour le restaurant, j’émets tout de même une réserve car pour les vieux de la vieille comme moi (malgré ma petite trentaine) je ne peux mener mes courses correctement qu’en déambulant dans les allées du magasin. Notons cependant que je pense que je vais m’y mettre moi aussi, ce test s’est avéré très convaincant ! Si vous souhaitez en apprendre plus sur le Click & Collect, rendez vous sur http://www.weblibre-consulting.com/ et laissez vous guider par les diverses explications qui permettent d’en apprendre beaucoup plus sur ce système qui tend, si on en croit l’évolution actuelle, vers une généralisation au niveau de tous commerces qui se créent ou souhaitent rester en lien avec les besoins clients.

Avoir un petit bout de jardin est un luxe que beaucoup n’apprécient pas. En effet, quand certains voient dans leur carré de pelouse un petit domaine pour un nain de jardin, d’autre quand à eux ont décidé de ne plus consommer des légumes de grandes surface fade, ternes, calibrés, parfaits. Ainsi ce petit bout de pelouse, pourra devenir une véritable corne d’abondance, qu’il serait bien dommage de ne pas envisager.

Bien sur, entretenir un potager s’avère être particulièrement chronophage, mais parce qu’une bonne nouvelle ne vient jamais seule, je vous propose aujourd’hui la technique dite de « la couche chaude ». Cette pratique, datant de plusieurs centaines d’années, a permis notamment aux maraichers parisien de cultiver des melons, les rendant accessibles à la consommation dès le printemps et jusqu’au début de l’automne qui va suivre.

La technique est simple, il s’agit de disposer les graines à planter sur une couche de fumier qui, lors de la fermentation permettra aux graines de germiner, en agissant sur l’ADN même du légume. Par la suite, après la fermentation du fumier terminée, les graines seront séchées puis mis en terre. Pas besoin d’eau ou d’autres ajouts. L’ADN du légume, à l’état de graine sera modifié pour rendre la plante la plus vivace possible, au même titre des herbes dites « mauvaises ». Ainsi, en prenant son mal en patience, la première récolte donnera des légumes de petite taille, le plant n’étant pas encore au plein de ses capacités. L’année qui suivra permettra l’accès des légumes de belle taille, forts en gout et en nutriments. Ainsi, après chaque récolte, les graines germinées et mises de côté annonceront une future récolte encore meilleure.

Cette technique pourra être utilisée sur tous les légumes, qui deviendront bientôt aussi réputés pour leur gout que pour leur unicité !
Vous pourrez trouver toutes les techniques de l’agriculture utilisées à travers le temps sur ce lien